Webedia / ARCOM : Les Monstres Modernes du Web Français
Par un résistant de la plume
Webedia, géant du web français, écrase en 2025 la liberté d’expression et l’éthique. Allociné, Jeuxvideo.com, Overblog, Purepeople, 750g, et d’autres sites ne sont plus que des vitrines aseptisées remplis de publicités, soumises à une censure omniprésente. Le Web français, autrefois lieu d’échanges libres, est aujourd’hui dominé par cet empire médiatique.
En parallèle, l’ARCOM, héritière des dispositifs comme HADOPI, a intensifié la traque des plateformes pirates. Avant HADOPI, des initiatives comme la loi DAVDSI (2006) avaient déjà marqué un tournant dans la censure et la répression des contenus illégaux. Aujourd’hui, l’ARCOM applique ces politiques avec une rigueur redoublée, éradiquant des sites historiques comme Zone Téléchargement, Wawa-Mania et Streamcomplet. Ces espaces, jadis refuges d’une culture numérique alternative, ont été détruits au profit d’un internet strictement encadré et standardisé, conçu pour servir les intérêts des puissants. Jamais nous n’oublierons la diffusion de Cinetorrent, Foromtorrent, Unicornis, Smartorrent, FrenchTorrentDB, Extreme Download, T411, IRC, le direct download, les Newsgroups et tellement d’autres !
Pour rappel, HADOPI, c’était ça :
La Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet, créée en 2009, visait à lutter contre le piratage en ligne en France. Cependant, son efficacité a été largement remise en question. En une décennie, Hadopi a coûté 82 millions d’euros aux contribuables, tandis que les amendes infligées n’ont rapporté que 87 000 euros, soit un ratio de 942 euros dépensés pour chaque euro collecté.
De plus, son champ d’action se limitait principalement aux réseaux peer-to-peer, laissant de côté le streaming et le téléchargement direct, modes de consommation illégale pourtant prédominants. (01net)
Cette inadéquation entre les moyens déployés et les résultats obtenus illustre un échec en termes de politique publique, économique et sociologique, démontrant une incapacité à s’adapter aux évolutions technologiques et aux pratiques des internautes. (NLTO)
Depuis sa création le 1ᵉʳ janvier 2022, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) a intensifié la lutte contre le piratage en ligne, menant au blocage de plus de 2 500 sites illégaux jusqu’en décembre 2023. (Arcom)
Cette approche a suscité des débats sur l’équilibre entre protection des droits d’auteur et liberté d’accès à l’information.
L’Arcom c’est quoi ? C’est qui ?
L’Arcom, issue de la fusion entre le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) et la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet (Hadopi), est critiquée pour son inefficacité et son coût élevé. Malgré un budget annuel de près de 47 millions d’euros et 355 agents, son utilité réelle est remise en question. (ViralMag – / Le Figaro)
Des décisions controversées, comme le retrait de chaînes de la TNT, ont été perçues comme des actes de censure autoritaire. (ASLA / Le Monde). De plus, l’Arcom est accusée de manquer d’indépendance, certains observateurs estimant qu’elle est influencée par des manœuvres politiques. (Les Observateurs)
Ces éléments suggèrent que l’Arcom pourrait être une structure bureaucratique coûteuse, dont l’efficacité et l’indépendance sont contestées.
Accès à la Culture : Un Droit Essentiel pour Tous
La disparition progressive de la culture gratuite affecte particulièrement les populations les plus défavorisées, restreignant leur accès à l’art et au savoir. Pourtant, la participation aux activités culturelles joue un rôle clé en aidant les personnes et les communautés à vaincre la pauvreté et l’exclusion sociale.
Il est donc impératif de préserver et de promouvoir des initiatives culturelles accessibles à tous, garantissant ainsi le droit fondamental à la culture pour chaque individu, indépendamment de sa situation économique. (voir European Commission)
La Commission européenne reconnaît que la culture est un levier essentiel pour le développement personnel et l’égalité des chances. L’Arcom pourrait assouplir sa position en légalisant le partage non commercial d’œuvres, permettant aux plus démunis d’accéder à l’art sans barrières financières. En parallèle, des modèles de financement alternatif, comme des subventions publiques ou des mécénats, pourraient compenser les pertes des créateurs tout en garantissant un accès universel à la culture.
Censure et Contrôle : La Toile sous Surveillance
L’ARCOM et Webedia, sous prétexte de réguler et de rentabiliser, imposent une uniformisation du web qui étouffe la diversité culturelle et réduit l’expression à un produit formaté. Webedia rachète, verrouille et vide de leur substance les sites qu’il touche. L’époque où Jeuxvideo.com était le sanctuaire de discussions authentiques est révolue. En 2025, le site s’est transformé en une plateforme étouffée par la pub et par une modération arbitraire et une complaisance institutionnalisée. Les forums emblématiques comme le Blabla 18-25, autrefois un chaos jubilatoire de liberté, sont devenus des zones mortes, où toute opinion qui dévie des dogmes imposés par Webedia est immédiatement effacée. La censure sur les forums de Jeuxvideo.com a commencé dès le rachat du site par Webedia en 2014, mais des signes précurseurs étaient déjà visibles dès 2012 avec une modération de plus en plus stricte face aux dérives de certains forums, notamment les célèbres « Blabla 15-18 » et « 18-25 ans ». Avec l’arrivée de Webedia, la nécessité de préserver l’image du site pour attirer les annonceurs et monétiser son immense trafic a conduit à une politique de modération renforcée, ciblant les sujets jugés sensibles ou polémiques, comme la politique, la religion ou le féminisme. À partir de 2015, cette censure est devenue plus systématique, notamment après des scandales impliquant des campagnes de cyberharcèlement, ce qui a poussé Webedia à durcir encore davantage ses règles pour répondre aux critiques médiatiques et aux pressions des marques partenaires. Entre 2020 et 2025, la modération s’est accentuée avec l’évolution des normes sociétales et les obligations légales accrues sur les plateformes en ligne, rendant le forum de plus en plus aseptisé et éloigné de son esprit d’origine. Là où en 2020, 2300 utilisateurs étaient connectés simultanément et régulièrement sur le forum 18-25, ils ne sont en 2025 plus que 700. Purepeople, autrefois une source décalée d’actualités culturelles, est aujourd’hui une usine à contenus recyclés, vidée de toute substance critique. Même 750g, refuge des amateurs de cuisine, n’est plus qu’un portail publicitaire sous prétexte de recettes. Vous critiquez un partenariat douteux ou osez rire de leurs influenceurs maison ? Vous disparaissez, sans raison.
Allociné n’est guère mieux. Le site est maintenant réduit à une gigantesque page publicitaire pour des films de studios complaisants. Les critiques de cinéma authentiques, ciselées par des passionnés, ont été balayées pour laisser place à des « avis sponsorisés ». Allociné censure les critiques des utilisateurs (exemple). Disparition des forums, suppression des espaces commentaires, et tant d’autres fonctionnalités sacrifiées… tout ça pour plus de pub. Merci Webedia ! Le Web français, autrefois un foisonnement de joutes et d’échanges libres, est aujourd’hui un désert d’opinions sous le joug de cet empire médiatique.
Les espaces de liberté chez Webedia, c’est fini. Aujourd’hui, sur Allociné, Jeuxvideo.com et ailleurs, ouvrir la bouche, c’est risquer la purge. Tout est filtré, aseptisé, dégraissé de toute spontanéité. On voulait des forums, on a eu des panneaux publicitaires interactifs. Ironique, non ? Ces plateformes, censées être le repaire du grand n’importe quoi, sont devenues des garderies sous haute surveillance, où chaque mot de travers déclenche une alerte rouge. On ne débat plus, on chuchote.
Le cas Overblog
Depuis le rachat d’Overblog par Webedia en avril 2014, la plateforme de blogs a connu des transformations notables. Webedia a intégré Overblog pour renforcer sa position sur le marché français. Cependant, cette acquisition a suscité des préoccupations parmi les utilisateurs concernant l’orientation commerciale accrue et les modifications apportées aux fonctionnalités de la plateforme. Certains blogueurs ont exprimé leur mécontentement face à l’augmentation des publicités et à la diminution des revenus ainsi que de l’autonomie créative. (voir le Trustpilot) De plus, des discussions en ligne reflètent une perception de dégradation de la qualité du service depuis ce changement de direction. J’ai moi même souffert de ce rachat. Les revenus de mon site ont diminués de moitié et la publicité s’est multipliée. J’ai donc migré sur OVH en 2015. D’autres exemples ?
« Une déferlante publicitaire… » : Dans cet article, l’auteur déplore l’invasion de publicités perturbant l’attention des lecteurs et rendant la navigation désagréable. Rosemar
« Un monde sans pub » : L’auteur exprime sa stupéfaction en découvrant que son blog est envahi de publicités en tous genres, malgré une interface qui ne les affichait pas lors de la rédaction. L’ArCins Magiques
« Publicité sur Overblog » : Ce blogueur critique la politique publicitaire intrusive d’Overblog, mentionnant que son blog a été défiguré par une multitude d’espaces publicitaires, rendant la lecture désagréable, surtout sur mobile. Créateur d’Émotions
« Overblog et la pub… » : L’auteur note un changement dans la gestion de la publicité par Overblog, avec une augmentation des encarts publicitaires et une diminution nette de la rémunération, donnant l’impression que le blog est écrasé par la publicité. La Marmite à Malice
« PUBLICITÉS envahissantes, gênantes, sans-gênes, pots de colle » : Ce blog dénonce les encarts publicitaires désagréables et tyranniques imposés par Overblog, proposant comme solution payante un abonnement à la version Premium pour masquer ces publicités. Pommobs Club
« Publicité !!!!! » : L’auteur qualifie son blog de « pourri par la publicité imposée par Overblog », précisant qu’il ne perçoit aucun revenu de ces annonces et invitant les lecteurs à le rejoindre sur une autre plateforme sans publicité. Aladiah
Webedia : l’empire qui dénature
Partout où Webedia met la main, c’est le même désastre. Allociné est devenu un panneau publicitaire, supprimant les forums et étouffant les vraies critiques sous des contenus sponsorisés. Jeuxvideo.com, jadis terrain de débats libres, est aujourd’hui cadenassé par une censure implacable au service des annonceurs. Overblog, refuge des blogueurs indépendants, n’est plus qu’une usine à clics, noyée sous la pub et vidée de son âme. Purepeople, où les pratiques éditoriales sont critiquées pour mélanger information et contenu publicitaire venant d’employés précarisés. (Wikipedia / La Tribune / Capital). Et quand en 2020 ça tourne mal ? On licencie. (Le Figaro) 2025 ne s’annonce par rose pour la firme. (BFM) Pourtant en 2018, le patron nous expliquait que « l’argent n’est pas un problème ». (Le Figaro).
Scandales et Départ des Talents
Webedia n’est pas étranger aux scandales. En 2022, plusieurs youtubeurs de renom, tels que Squeezie, McFly et Carlito, ont quitté le groupe, invoquant des divergences professionnelles et un manque de soutien. (Konbini)
Plus récemment, l’influenceuse Ophenya, intégrée à Webedia en mai 2023, a été accusée de dérives sectaires, suscitant une vive polémique. (20 Minutes)
De plus, en 2020, Webedia a été condamné pour concurrence déloyale envers la marque Bonpoint, révélant des pratiques commerciales douteuses. (IP Talk)
En décembre 2022, le youtubeur Norman Thavaud, affilié à Webedia, a été placé en garde à vue pour des accusations de viol et de corruption de mineurs. Six jeunes femmes avaient porté plainte contre lui, dont deux mineures au moment des faits. Bien que l’enquête ait été classée sans suite en octobre 2023, cette affaire a terni l’image de Webedia, qui avait suspendu sa collaboration avec l’influenceur pendant l’enquête. (La Dépêche)
Marc Ladreit de Lacharrière est un éminent homme d’affaires français, fondateur et président de Fimalac, une société d’investissement diversifiée. En 2013, Fimalac a acquis Webedia, renforçant ainsi sa présence dans le secteur des médias numériques. (Webedia France)
Propriétaire de la Revue des deux Mondes, il a été impliqué dans le scandale entourant François Fillon, ancien Premier ministre français. En décembre 2018, Ladreit de Lacharrière a été condamné à huit mois de prison avec sursis et à une amende de 375 000 euros pour abus de biens sociaux. Cette condamnation faisait suite à la révélation que Penelope Fillon, épouse de François Fillon, avait perçu une rémunération d’environ 135 000 euros entre 2012 et 2013 pour un emploi fictif au sein de la revue, sans accomplir de travail réel. (L’Express)
Son fils, Jérémie Ladreit de Lacharrière, a été impliqué dans plusieurs affaires judiciaires. En janvier 2022, il a été placé en détention provisoire pour détention de milliers de fichiers pédopornographiques. Cette affaire a mis en lumière des aspects troublants liés à la famille Ladreit de Lacharrière. (Le Figaro)
Par ailleurs, Webedia a été critiqué pour sa gestion des contenus et des influenceurs, certains accusant le groupe de privilégier le profit au détriment de l’éthique.
Ces incidents soulignent la nécessité pour les grandes entreprises du web de maintenir des normes éthiques élevées et de réagir de manière transparente face aux allégations touchant leurs collaborateurs.
Webedia s’est imposé comme un ogre du web français, avalant les plus grandes plateformes de divertissement et d’information pour mieux les remodeler à son image : plus de pub, moins de débats, et un contrôle total du discours. De Jeuxvideo.com à Allociné, il censure, aseptise, verrouille les espaces de discussion, supprimant tout ce qui dépasse ou dérange. Mais la vraie question est : qui contrôle Webedia, alors qu’il prétend tout maîtriser ? En s’arrogeant le droit de façonner le web selon ses intérêts commerciaux, il s’érige en juge et bourreau du paysage numérique français, laissant planer un doute inquiétant sur les limites de son pouvoir.
Parmi ses influenceurs phares, nombreux sont ceux qui, sous des apparences lisses, traînent des casseroles. Profiteurs, racoleurs, soupçonneux, et parfois même accusés de violences sexuelles, ils incarnent l’hypocrisie d’un empire qui se veut irréprochable. Manipulés comme des pions avides d’argent, ils suivent les ordres d’un système où la moralité n’est qu’un masque, sacrifiée sur l’autel du profit. Dans cet univers de pub et de censure, l’ambition dévorante a remplacé toute quête de vérité ou d’éthique, réduisant leurs actes à des simulacres philosophiques d’un bien commun inexistant. Si ces accusations sont encore sous enquête, le silence radio de Webedia est éloquent. Pas de communiqué, pas de transparence, rien. La stratégie est claire : attendre que le scandale s’étouffe sous le poids du temps.
Pourquoi Tout Cela Continue ?
Parce que Webedia a compris que l’argent est roi et que la complaisance est un outil. Ils étouffent les critiques avec des partenariats publicitaires alléchants, ils écrasent les résistances avec leur armée de modérateurs, et ils maquillent leurs scandales avec des distractions calibrées. Mais le public français, si souvent désabusé, n’est pas dénué de lucidité. Beaucoup savent que cette machine qu’ils financent à coups de clics est un monstre bien huilé. Nombreux sont les témoignages d’internautes évoquant le déclin de ces sites prestigieux français. Adieu Allociné, Overblog et JVC… et tant d’autres ! La liberté d’expression française en prend un sacré coup. Le warez FR est en train de se prendre de sacrés coups. Et la censure est partout, grimpante…
Témoignages de censure pour Allociné et Jeuxvideo.com :
https://jvflux.fr/Crise_410
https://www.allo-le-g.fr/viewtopic.php?f=2&t=1850&p=106822
https://www.senscritique.com/serie/dedans_allocine/critique/24686814
Webedia : Quand la publicité et la censure étouffent le web français
Webedia, monopole envahissant du web français, contrôle de nombreux sites populaires tels que Gentside, Purebreak, Puremédias, Purecharts, Mixicom (agence d’influenceurs), MGG (ancien Millenium), et IGN France, ce qui lui confère une influence considérable sur l’information et le divertissement en ligne. Toutefois, cette domination s’accompagne de pratiques controversées, notamment une présence publicitaire omniprésente, qui altère l’expérience utilisateur en saturant les pages de contenus sponsorisés et de formats intrusifs (Numerama). Par ailleurs et comme nous l’avons vu, Webedia est régulièrement pointé du doigt pour ses pratiques de censure, notamment sur Allociné et les forums de Jeuxvideo.com, où des suppressions de messages et des bannissements jugés arbitraires ont provoqué la colère des communautés (voir le Trustpilot). Ces actions, souvent perçues comme une volonté de protéger les intérêts commerciaux de la plateforme au détriment de la liberté d’expression, contribuent à appauvrir le débat public en ligne. En combinant un contrôle accru du contenu et une logique publicitaire omniprésente, Webedia participe à son inquiétante standardisation du web français, au détriment d’une véritable diversité des voix et des opinions. Cette situation soulève des questions sur l’impact de la concentration des médias numériques sur la diversité des opinions et le débat public en France. C’est la liberté d’expression que Webedia abat.
Nous l’avons constaté avec Overblog, Jeuxvideo.com et Allociné : ces plateformes autrefois populaires sont aujourd’hui gangrénées par la censure, l’omniprésence de la publicité et une perte de leur identité d’origine. Mais qu’en est-il des autres branches de la tentaculaire pieuvre qu’est Webedia ? Millenium/MGG, racheté en 2014, n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. On pourrait également évoquer Terrafemina ou encore le site easyVoyage, tous absorbés par ce mastodonte du web qui semble privilégier la rentabilité et le contrôle au détriment de l’authenticité et de la qualité du contenu.
Reprendre le Contrôle
C’est grave ce qu’il se passe, et ça s’accélère ! Il est temps de résister, de redonner vie à des espaces en ligne éloignés des griffes de Webedia et de l’ARCOM. Boycottons leurs plateformes. Dénonçons leurs pratiques. Soutenons les créateurs indépendants qui tiennent encore bon, ces voix isolées dans un désert numérique. Webedia et l’ARCOM sont peut-être puissants, mais ils ne sont rien sans leur audience.
Je suis moi même victime de la censure de Webedia. Il n’est plus possible de partager mon art sur les sites du groupe. J’ai assisté à la déliquescence d’Allociné, d’overblog et de jeuxvideo.com en tant qu’utilisateur. Pour l’anecdote, l’hébergeur d’image de jeuxvideo.com, noelshack, a un bot de censure plus performants qu’instagram et facebook. On connaissait l’histoire de la censure de « L’origine du monde » sur FB et le penchant des américains pudibonds pour censurer tout ce que dépasse (ex ; les tétons). Et bien figurez-vous que le bot qui détecte les images sur noelshack est plus pointu et censure davantage ! Il est impossible d’y uploader mon œuvre « L’ange & la fée » :
Version couleur ou N&B, aucunes ne passent sur l’hébergeur. J’ai pu uploader l’œuvre sur Instagram et Facebook. Pas sur Noelshack. Merci pour la censure 100% française Webedia ! (edit du 21/01/25, c’est désormais possible de l’uploader, ce n’était pas le cas en octobre 2024, preuve que des choses changent ou était-ce juste un bug qui a touché deux œuvres différentes ? Laissons planer le doute…).
J’ai également été banni 5 jours, le 18/01/2025 pour avoir poster ce son sur le forum 18-25 :
https://www.inkblood.net/la-bataille-du-rsa-reforme-rsa-critique-sociale-conte-macabre-satire-sociale-poesie-moderne-combat-administratif-jerome-revolte-humour-noir-resistance-citoyenne-insurrection-bureaucratique/
J’avais déjà été banni temporairement pour publicité lors du confinement de 2021, simplement pour avoir partagé la bande dessinée suivante. J’avais contesté cette décision en expliquant que je n’étais pas un professionnel, que je ne vivais pas de mon art, qu’aucune publicité n’apparaissait sur mon site et qu’il existait peu d’endroits où promouvoir son travail. De plus, en tant que membre actif du site depuis 1999, j’y participe régulièrement et ne m’y rends que très rarement pour partager mes créations. Malgré ces arguments, la sanction n’a jamais été levée, me laissant sérieusement douter de l’humanité derrière ces « censeurs ».
https://www.inkblood.net/b-d-loubli-attend/
Et surtout, n’oublions pas : sous chaque bannissement, chaque censure, chaque scandale étouffé, c’est une partie de notre liberté qui s’échappe. Ne laissons pas un empire ronger ce qu’il nous reste d’éthique et de vérité.
Sources :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Censure_d%27Internet_en_France?